Pissenlit
De nos jours, le pissenlit est souvent considéré comme un fléau envahissant les belles pelouses vertes fluos avec leurs racines de films d’horreur. Pourtant, depuis les temps antiques, le pissenlit est cueilli et apprécié comme une des meilleurs plantes de printemps. Dès la renaissance, le pissenlit remplit une fonction importante en tant que plante médicinale. Ses vertus médicales ne s’arrêtent pas comme son nom l’indique à ses bienfaits diurétiques.
La médecine douce ne l’utilise pas seulement en phytothérapie (art de se soigner par les plantes), l’homéopathie exploite le pissenlit pour un médicament, le taraxacum, nom issu du Genre du pissenlit.
Le pissenlit est une plante vivace de la famille des Astéracées, possède une multitude de noms communs. Si dent de lion, bédane, barabant, chicorée laiteuse sont des noms assez courant pour le pissenlit, d’autres noms plus régionaux sont également utilisés. Le pissenlit se transforme alors en moure pourcin, cramaillot, crèpe, lacheron, létizon, copine, acropi, cramia…
Le pissenlit est cultivé depuis le XVIII ème siècle, avec une production maraîchère qui débute véritablement au XIX ème siècle. Certains amateurs de salade cultivent de nos jours des variétés améliorées de pissenlit dans leurs potagers.
Les liens du pissenlit :
Se soigner par les plantes avec le pissenlit : plantes.remedes
Le pissenlit et l’homéopathie : officine.homeopathie
le remède taraxacum : homéopathie famille
Origine des médicaments homéopathiques : homeopathie.remedes